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From: | Olivier Lourdais |
Subject: | Re: [Bitobi-arch] [archi] noeuds passifs |
Date: | Fri, 10 Jan 2003 14:05:12 +0100 |
User-agent: | Mozilla/5.0 (X11; U; Linux i686; en-US; rv:1.1) Gecko/20020826 |
Sur chaque machine du réseau, on trouve donc un noeud (d'amarrage) et un ensemble de noeuds passifs. Un noeud communique avec ses noeuds passifs comme avec ses noeuds voisins. En régime de croisière, le rôle d'un noeud se borne donc à attendre la réception d'un message et à le diffuser à tous les noeuds (voisins et passifs) authentifiés.On arrive donc a plusieurs niveau d'authen et de secu. Pas extra.
Bah on a une authentification du genre "si connexion locale alors je fais confiance, sinon il faut s'authentifier".
La sécu reste homogène, je vois pas où est le pb.En fait tant que c'est un noeud passif local, on peut le considérer comme un plugin, donc on a pas à s'embêter avec la sécu. [ Effectivement, si plus tard on a des coincoins de 2nde génération, ça compliquera un peut : il faudra gérer l'authentification par cookies entre autres ; enfin on en est pas là et y'a d'autres moyens de s'en sortir. ]
Chaque service (interface web/backend, log, antigone, admin, ...) est donc implémenté via un noeud passif distinct.Comment se passe la comm entre le noeud passif et le node pour la generation des backends?
Exactement comme entre deux noeuds voisin :- quand un noeud reçoit un post depuis un de ses voisins, il vérifie qu'il ne l'a pas déjà traité, puis le transmet à ses voisins et à ses noeuds passifs - quand un noeud voisin veut envoyer un message, il l'envoie à son noeud d'amarrage, qui s'occupe de sa diffusion Donc le noeud passif a un socket ouvert vers son noeud d'amarrage, qui lui sert à envoyer et à recevoir des messages au format xml qu'on définira.
- les implémentations, pour un service donné, peuvent être effectuées sans s'occuper du reste (à partir du moment où on a un protocole pour communiquer avec le noeud d'amarrage, on est indépendant du langage, ...)Donc, niveau implementation -> bitobi-dev, c'est selon moi specifique a chaque serveur. (cf infra)
Mouais, oui et non.Ça ne concerne pas l'archi du réseau, ok, mais ça concerne quand même l'archi des noeuds. Enfin bien sûr on est pas obligé de normaliser l'archi des noeuds, vu que ça empêchera pas le résal de fonctionner, mais on peut quand même proposer une norme de communication intra-node, non ? Ça ne coûte pas grand chose (vu que c'est le même contenu que pour les communications inter-nodes) et ça risque d'être pratique par la suite.
Pareil, ça dépend si on décide de se limiter aux communications inter-nodes ou si on prend aussi en compte les communications intra-nodes. Les deux options sont défendables IMHO.Je disais donc que c'etait selon moi specifique a l'implementation. Explication: Je developpe un bitobi en Ruby. Ce que tu appelle noeud passif est pour moi un classe a part, mais elle fait parti du serveur. Si un pro (ou un porc, a voir comment ce sera code) a envie de se taper 42 processus (42 programmes) ayant chacun une tache definie, cela n'est pas pour moi du niveau de l'architecture. Pour moi, l'architecture du truc, c'est avant tout de definir les principes de bases les prerequis (backend XML, HTTP, WAP, compatibilites ascendante et descendante) et surtout, surtout, le protocole ENTRE les noeuds. Honnetement, je pense que le truc interne au serveur est pas lie a l'archi du truc. Voila. Donc, je pense que le truc des noeuds passifs est pas specifique a l'archi.
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