Re: [Fsfe-france] Scrutins publics du vote des amendements 150 et 267

[Cedric Musso]

On Tue, Mar 28, 2006 at 05:38:43PM +0200, Ludovic Pénet wrote:
> > Ta rhétorique ne change rien à la saine logique et n'apporte
> > toujours aucune preuve de ton affirmation.
> Ma rhétorique ? La saine logique ?
>
> Voyons donc...
> 
> Deux députés sont dans un hémicycle.

Qu'est-ce qui te permet d'affirmer qu'ils étaient dans l'hémicyle ?

Examinons donc les chiffres que tu as transmis :
- 76 votants pour le 150
- 41 pour le 267

Pour prouver ton affirmation, tu dois prouver que ces deux députés
faisaient parti des 76 ; et des 41.


> Un scrutin public est organisé. Les
> services de l'assemblée font leur boulot et notent qui vote quoi en
> procédant comme pour tous les scrutins public ordinaires, soit en
> relevant :
> - la tendance majoritaire de chaque groupe et le nombre de députés qui
> l'ont suivi ;
> - les noms des députés qui ont opté pour un autre choix (trois choix
> possibles : pour, contre, abstention).
> 
> Bilan, les noms de deux personnes dont on tente de nous faire croire
> qu'elles n'ont pas voté pour n'apparaissent ni dans les abstentions, ni
> dans les contre de leur groupe.. La saine logique commande de se rendre
> à l'évidence : ils ont voté pour.

[...]

> > > D'ailleurs, Bernard Carayon ne fait pas mystère de son vote.
> > Cet échange concerne ton affirmation concernant le vote de deux
> > députés sur deux amendements.
> > Tu es hors sujet.
> Bien sûr que non. Tu es en train de te montrer plus royaliste que le
> roi
> en t'efforçant de démonter qu'ils n'ont pas voté le 150 quand au moins
> l'un d'entre eux le reconnaît. Heureusement, le ridicule ne tue pas.

Non, je mets en doute ton affirmation selon laquelle 2 députés
ont voté 2 amendements. C'est pourtant écrit juste au dessus :
« Cet échange concerne ton affirmation concernant le vote de deux
députés sur deux amendements. »


On Thu, Mar 23, 2006 at 02:58:01PM +0100, Ludovic Pénet wrote:
> Tout le monde fait des erreurs ; ce n'est pas un problème en soi.
> Leur persistance par contre le devient.


Cédric